Lavoie antérieure, de Mallory en particulier, ne coupe pas ces tendons et permet donc d’ éviter au maximum la luxation de la prothèse. Dans notre expérience, plus aucune hanche ne s’est déboitée depuis l’utilisation en 2006 de cette voie Prothèse de hanche antérieure et postérieure L’approche antérieure pour réaliser une prothèse totale de hanche a gagné en popularité aux États-Unis au cours des dix dernières années. C’est une technique que les patients recherchent pour plusieurs raisons. Ils estiment généralement que c’est une technique moins douloureuse, qu’elle permet une rééducation plus précoce et qu’elle comporte moins de restrictions que l’approche postérieure traditionnelle. Il y a beaucoup d’expériences anecdotiques relatées en ligne par les patients qui soutiennent cette opinion. Ce qui a été prouvé en termes d’études scientifiques, c’est que bien que la récupération initiale soit plus rapide avec l’approche antérieure, à trois mois il n’y a pas de différence entre les hanches totales bien placées faites avec l’approche antérieure par rapport à l’approche postérieure. L’expression clé ici est bien placé ». J’ai utilisé l’approche postérieure pour toutes les prothèses de hanche que j’ai pratiquées de 1983 jusqu’à la fin de 2013. À partir de ce moment-là, j’ai utilisé l’approche antérieure presque exclusivement pour les prothèses de hanche primaires et je l’ai même utilisée pour des chirurgies de révision sélectives. Ma frustration avec l’approche postérieure était d’obtenir des composants bien placés de manière constante, en particulier le composant acétabulaire. L’acétabulaire est une surface concave du bassin. La tête du fémur rencontre le bassin au niveau de l’acétabulum, formant ainsi l’articulation de la hanche. Le placement correct des composants de la hanche totale est l’un des facteurs clés pour obtenir d’excellents résultats à long terme avec une prothèse totale de la hanche. Dans mes mains, j’ai l’impression que le placement correct des composants est quelque chose qui est beaucoup plus cohérent avec l’approche antérieure. Les objectifs d’une prothèse totale de hanche faite par n’importe quelle approche sont 1. Une articulation indolore qui fonctionne bien. 2. Éliminer les complications- Certaines des principales complications de l’arthroplastie totale de la hanche sont l’infection, la luxation des composants, la thrombose veineuse profonde caillot de sang, l’embolie pulmonaire état dans lequel une ou plusieurs artères des poumons sont bloquées par un caillot de sang, le relâchement des composants, les fractures peropératoires, l’inégalité de longueur des jambes et les complications anesthésiques, y compris la mort. 3. diminuer le taux de transfusion sanguine. 4. diminuer la durée de l’hospitalisation. Alors, comment l’approche chirurgicale influence-t-elle tous ces objectifs et complications ? Y a-t-il une approche chirurgicale qui est toujours supérieure à toute autre ? La réponse n’est pas si noire et blanche, mais plutôt une nuance de gris. L’arthroplastie totale de la hanche est réalisée par l’approche postérieure environ 2/3 du temps dans ce pays. L’approche antérieure est réalisée environ 25% du temps et les autres approches représentent le reste. L’approche postérieure est celle qui est enseignée dans la plupart des programmes de formation orthopédique du pays, car elle est polyvalente et la plupart des problèmes de l’articulation de la hanche peuvent être traités par l’approche postérieure. Cela inclut les fractures du col du fémur et les arthroplasties de la hanche pour des conditions arthritiques. L’approche antérieure n’est pas nouvelle et existe depuis le début du 20e siècle. Son utilisation n’a pas été généralisée car elle est littéralement à 180 degrés de l’approche postérieure en termes de vision de l’anatomie de la hanche par le chirurgien. Franchement, c’est une approche qui peut être intimidante jusqu’à ce que le chirurgien s’y habitue et apprenne les forces et les faiblesses qu’elle présente. Alors pourquoi quelqu’un qui était très à l’aise avec l’approche postérieure passerait-il à l’approche antérieure ? En un mot, parce que j’ai l’impression que mes patients obtiennent de meilleurs résultats et ont moins de complications. Je n’ai aucune preuve scientifique de cela autre que ce que j’ai vu au quotidien avec mes propres patients. J’ai l’impression que mon taux de luxation est significativement plus faible, que mon placement des composants est là où je le veux 95% du temps, que mon taux de transfusion est plus faible, que mon incidence de thrombose veineuse profonde et d’embolie pulmonaire est plus faible, que ma durée de séjour à l’hôpital est plus faible, que mon incidence d’inégalité de longueur de jambe est presque inexistante, que l’utilisation de narcotiques est réduite, que mes pertes de sang sont réduites et surtout que mes patients sont beaucoup plus heureux. L’arthroplastie antérieure de la hanche se fait avec le patient allongé sur le dos sur une table spéciale qui permet un positionnement précis de la jambe affectée. L’utilisation d’une unité de fluoroscopie permet une imagerie en temps réel de la hanche au fur et à mesure de l’intervention. Cela permet de placer avec précision les composants qui sont de taille correcte. Elle permet également une égalisation précise de la longueur des jambes, ce dont se plaignent les patients lorsque la longueur de leurs jambes n’est pas égale. Étant donné que l’extrémité inférieure ne place pas la veine fémorale dans une position tordue pendant une période prolongée, il semble que l’incidence de la thrombose veineuse profonde soit réduite chez les patients qui utilisent l’approche antérieure. L’approche antérieure passe entre les plans musculaires au lieu de couper à travers le muscle comme dans l’approche postérieure. C’est moins douloureux et il y a moins de perte de sang. L’essentiel est que l’approche antérieure, dans mes mains, m’a donné, ainsi qu’à mes patients, un meilleur résultat à court et à long terme. C’est une approche moins invasive et moins douloureuse qui est tout à fait perceptible à court terme en ce qui concerne la douleur, la durée du séjour à l’hôpital et la capacité de marche en termes de distance parcourue et d’utilisation d’aides techniques comme un déambulateur ou une canne. Il permet un placement précis des composants, ce qui est le plus important pour l’état des patients à long terme. En ce qui me concerne, il s’agit de l’approche préférée pour les hanches primaires. Elle est également en train de devenir mon approche préférée pour la révision des prothèses de hanche. Au niveau national, l’arthroplastie totale de la hanche par voie antérieure continue de gagner en popularité auprès des patients et des chirurgiens. Je suis d’avis que l’approche antérieure continuera à gagner en popularité en fonction de ses mérites et non du fait qu’il s’agit d’une mode. Le Dr W. Cooper Beazley reçoit des patients au site TOA de Clarksville.
Lécueil de ce type d’abord reste la luxation postérieure, complication redoutée de la prothèse de hanche, dont la fréquence reste débattue selon les études mais on peut retenir le chiffre de 2-3%. Par opposition, l’abord de l’articulation peut se
Error 403 Guru Meditation XID 419736272 Varnish cache server Lesavantages de la prothèse de hanche par voie antérieure. Récupération plus rapide, pas d’atteinte des muscles postérieurs stabilisateurs. Perte sanguine moins importante (moins de
Le mot du chirurgien “Le paysage de la chirurgie de la hanche s’est profondément modifié ces dernières années. Nos patients sont plus jeunes, et même les moins jeunes ont des exigences sportives importantes. La meilleure compréhension des pathologies de la hanche du sujet jeune, l’arthroscopie de hanche, les prothèses de hanche sur mesure ou les techniques modernes de révision de prothèses ont transformé nos pratiques chirurgicales. Je pense que notre rôle est de remettre le patient au centre de sa prise en charge et de répondre à sa demande. Une hanche qui souffre est un frein à l’épanouissement global, qu’il soit personnel, professionnel ou sportif. Mon ambition est d’apporter des solutions personnalisées pour que chacun puisse de nouveau profiter de la vie en ayant confiance dans sa hanche et dans ses capacités.” L’expertise du docteur Idriss Tourabaly s’articule autour de 4 axes Le traitement des pathologies de la hanche du sportif, grâce à l’arthroscopie de hanche. Il a appris cette technique moderne mini-invasive grâce à sa rencontre avec le docteur Thierry Boyer et Alexis Nogier. La chirurgie de la hanche par voie antérieure. Cette technique développée à Paris permet d’accéder à la hanche sans aucun traumatisme musculaire. Il s’agit d’une technique respectueuse de l’anatomie. L’implantation de prothèse totale de hanche sur mesure planifiée en 3D. Cet outil permet de s’adapter à toutes les formes de hanche que ce soit pour les patients jeunes, les sportifs ou les patients plus âgés. La prise en charge des hanches prothésées en difficultés. Ce programme de consultation collégiale de conseil en collaboration avec les docteurs Nogier, Debiesse et Courtin nous permet de recevoir les patients ayant des résultats imparfaits avec leur prothèse de hanche. Portrait du Dr Idriss Tourabaly Sociétés savantes Membre du Collège de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. Membre de la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. Membre de la Société Française d’Arthroscopie. Diplômes DESC Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. MEDAILLE D’ARGENT Thèse de doctorat en médecine. Master 2 Méthodes en Évaluation Thérapeutique Pr Ravaud. DES Chirurgie générale. DIU Pathologies chirurgicales du genou Pr Hernigou. DU Pathologie de la hanche Pr Courpied. DU Microchirurgie Pr Masquelet. DU Anatomie de l’appareil locomoteur Pr Gagey. MSBM d’Informatique Médicale et Technologie de la communication. MSBM d’Immunologie. Formations Ancien Praticien Hospitalier Contractuel Hôpital Lariboisière. Ancien Chef de Clinique – Assistant des Hôpitaux de Paris Hôpital Lariboisière. Ancien interne de chirurgie des hôpitaux de Paris. Ancien externe de médecine CHU Pitié-Salpêtrière. Ouvrages et revues scientifiques 2021 Rougereau G., Rabot C., de Thomasson E., Tourabaly I., Mazel C., Langlais T, Ollat D. Sexual Activity Resumption after Total Hip Arthroplasty A Satisfaction Survey in 101 Patients. 2021 Nogier A., Tourabaly I., Barreau X, Ramos-Pascual S, van Rooij F., Saffarini M., Courtin C., Little or No Differences in Hip Morphology Between Professional Dancers and Controls A Systematic Review, 2021 2020 Khiami F., Tourabaly I., Traumatologie du sport. Conflit antérieur de hanche, 2020 Tourabaly I., Ed. Springer. Hip preservation Surgery – Open, Arthroscopic and Endoscopic Techniques. Chapter Joint Lavage, synovectomy, biopsy and loose body removal. 2020 2017 Rathi R, Tourabaly I, Nogier A., J Orthop. Two-incisions direct anterior approach for THR Surgical technique and early outcome. eCollection 2017 Sep. 2015 Rousseau R., Krantz N., Girard J., Nogier A., Baraduc E., Tourabaly I. La revue Médecins du Sport. Controverse – La coxarthrose du sujet jeune Prothèse de hanche ou Resurfaçage ? 2015 Tourabaly I., Boutron I., Nizard R., Ravaud P., ASSIST applicability scoring of surgical trials. an investigator-reported assessment tool, 2015 2011 Dr Tourabaly I. 17e journée de traumatologie de la Pitié-Salpêtrière, Traumatologie du rachis cervical, Chapitre Luxation / fracture uni-articulaire du rachis cervical inférieur. 2011. Prendre Rendez-vous avec le Docteur Idriss Tourabaly Pour prendre rendez-vous avec votre praticien, contactez le Par téléphone au 06 64 03 22 78 Par mail
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PROTHÈSEDE HANCHE PAR VOIE ANTÉRIEURE; AUTRES. ARTHROSCOPIE DU GENOU; GREFFE DE CARTILAGE; LÉSION MÉNISCALE; LIGAMENT CROISÉ ANTÉRIEUR ; OSTÉOTOMIE TIBIALE; SYNDROME DOULOUREUX ROTULIEN ET L’INSTABILITÉ ROTULIENNE; CV; CONTACT. CONSULTATION; ACTIVITÉ CHIRURGICALE; VIDÉOS. PROTHÈSE DE HANCHE. Voie d’abord Quand peut-on intervenir sur une prothèse de hanche ? Intervenir sur une hanche déjà prothésée est possible dans deux circonstances Soit au terme de l’usure normale des implants, de nombreuses années après leur pose ; Soit en cas de dysfonctionnement de la prothèse. Dans tous les cas, la reprise est précédée d’une démarche diagnostique rigoureuse précisant l’état des muscles et des tendons, la qualité du stock osseux et de la fixation prothétique, le positionnement des implants et leur usure, les références de la prothèse implantée et la voie d’abord utilisée lors de la pose. Le diagnostic d’infection est rare mais doit être évoqué en cas de dysfonctionnement atypique. Sur le plan technique, diverses solutions chirurgicales sont possibles de façon graduelle Intervention sur les muscles, tendons, parties molles ou calcifications sans modifier les implants en place ex réparation tendineuse après voie de Hardinge ; Changement simple isolé d’un composant, sans toucher l’autre composant prothétique ex changement du cotyle pour conflit avec le psoas ; Changement bipolaire de l’implant cotyloïdien et de l’implant fémoral ex descellement bipolaire des implants ; Changement avec ostéosynthèse ou renfort métallique ex ostéolyse du bassin par usure de la prothèse ; Changement avec reconstruction osseuse par greffe ex destruction osseuse évoluée périprothétique. La durée de l’intervention varie de une heure et demi à plus de quatre heures selon les situations. L’hospitalisation dure habituellement six nuits. La reprise de la marche en appui peut être immédiate ou différée de six semaines en cas de greffe osseuse. Dans tous les cas, l’objectif est de restaurer une articulation stable, mobile et indolore, autorisant la reprise des activités sans limitation. Douleur après prothèse Sauf exception, une douleur persistante après prothèse de hanche est un signe de dysfonctionnement ou de lésion et est accessible à un traitement. La démarche diagnostique débute en éliminant les causes de douleur projetées sciatalgie, cruralgie, hernie pariétale, insuffisance artérielle. Une douleur identique avant et après implantation de prothèse évoque une erreur d’indication initiale. Les causes effectivement liées à la hanche sont multiples Conflit du tendon psoas sur un débord de la prothèse ; Rupture ou inflammation des tendons fessiers ; Micromobilité de la tige ou de la cupule, descellement ; Ossification péri articulaire, lésion musculaire ; Lésion nerveuse nerfs sciatique, crural, cutané latéral, algodystrophie ; Infection du site opératoire ; Lésion tumorale. Quelle que soit la situation, il faut persévérer et trouver la cause de la douleur au moyen d’un examen clinique complet et d’explorations exhaustives. La lecture du compte-rendu opératoire est essentielle pour diagnostiquer les causes reliées à la technique opératoire. Un deuxième avis chirurgical puis un troisième trouvent ici toute leur place en apportant un regard neuf et expérimenté. La douleur d’origine psychiatrique » doit absolument être considéré comme un diagnostic d’élimination car la majorité des causes identifiées sont accessible à un traitement interventionnel efficace. Boiterie après prothèse de hanche Quelques semaines après implantation d’une prothèse de hanche, il est normalement possible de marcher sans douleur et sans boiterie. Si ce n’est pas le cas, différentes causes du dysfonctionnement doivent être évoquées Toutes les causes de douleur de prothèse de hanche peuvent être à l’origine d’une boiterie Conflit avec le psoas ; Descellement des implants avec ou sans infection ; Tendinite des fessiers, bursite trochantérienne. D’autres causes mécaniques sont à évoquer, en particulier une modification de longueur ou de latéralisation de la hanche qui modifie le trajet des muscles et les rend parfois insuffisants. Une prothèse de hanche suivie d’un raccourcissement ou d’un allongement du membre entraîne logiquement une boiterie. Certaines boiteries sont dues à l’atteinte des tendons/muscles lors de l’opération voie transfessière de Hardinge, trochantérotomie. Enfin, il faut également évoquer les douleurs ayant une autre origine que la hanche trouble neurologique, cruralgie. Selon la cause identifiée, un traitement est habituellement possible, en particulier pour toutes les causes mécaniques. La réparation d’une lésion tendineuse, la remise en tension des muscles ou la suppression d’un phénomène douloureux entraînent habituellement la disparition de la boiterie. Tendinite du psoas La survenue d’une tendinite du psoas après implantation d’une prothèse de hanche est un événement relativement fréquent, pouvant concerner 1 à 5% des cas. Il s’agit d’une douleur antérieure, inguinale, qui n’était habituellement pas présente avant l’intervention. La douleur apparaît quelques jours ou quelques semaines après la chirurgie, puis devient invalidante car elle ne disparaît pas malgré la rééducation. Les radiographies sont habituellement interprétées normales, la prothèse semble bien fonctionner. En réalité, il s’agit souvent d’un débord de la cupule prothétique en avant, au contact du tendon psoas qui est irrité et enflammé par ce conflit. La flexion de hanche est douloureuse, voire impossible lorsque la tendinite est sévère. Il convient alors de confirmer le diagnostic par une échographie, qui montre le débord de la cupule, le contact avec le tendon, et une bursite inflammatoire avec inflammation du tendon. Si l’on infiltre une ampoule de cortisone au contact du tendon, la douleur disparaît quelques semaines puis réapparaît. Un scanner de hanche permet de mettre en évidence ce débord de la cupule. Le traitement repose au choix sur l’une de ces interventions soit une arthroscopie de hanche pour sectionner le tendon ténotomie du psoas ; soit une reprise de la cupule cotyloïdienne pour implanter une cupule plus petite à distance du tendon psoas. Le résultat est habituellement excellent, avec disparition définitive de la tendinite. Enfin, il faut signaler que certaines tendinites du psoas peuvent également être dues à un ostéophyte résiduel, en dehors de tout débord de cupule. Bursite de hanche après prothèse Une bursite est une petite poche inflammatoire et douloureuse remplie de liquide, qui témoigne de la souffrance de certaines structures périarticulaires comme les tendons. Sa survenue après prothèse de hanche est souvent associée à la présence de fils métalliques pose de prothèse par trochantérotomie. Une autre situation est la présence d’une rupture des tendons fessiers après voie de Hardinge abord trans glutéal. Enfin, il existe certains cas de bursite autour d’ostéophytes. Le diagnostic est réalisé grâce à une échographie de hanche. Le traitement repose en premier lieu sur les anti-inflammatoires ou sur la ponction infiltration de la bursite cortisone. En cas de persistance, il faut intervenir chirurgicalement, et supprimer la cause de l’inflammation retrait des fils irritants, réparation des tendons lésés, etc Usure de prothèse de hanche Toute prothèse de hanche implantée dans l’organisme est soumise à des phénomènes d’usure, dans la mesure où l’absence complète de frottement comme la perfection de la lubrification n’existent pas. Cette usure est toutefois très progressive, et indolore. Dans certains cas cependant, l’usure d’une prothèse de hanche est problématique et doit être prise en compte une usure très importante du plastique prothétique cupule cotyloïdienne en polyéthylène peut se produire après plusieurs années, générant de multiples débris dont l’évacuation s’accompagne d’une destruction osseuse ostéolyse autour de la prothèse. l’usure des parties métalliques de la prothèse de hanche est un phénomène anormal qui peut générer des phénomènes de métallose voire de tumeur synoviale bénigne douloureuse. C’est le cas de certains resurfaçages, ou de prothèses à couple métal/métal. Lorsque l’usure est isolée et peu importante, il convient de la surveiller sans intervenir. Lorsque l’usure s’accompagne de destruction osseuse ou de douleurs, il faut sans tarder changer les implants usés contre de nouveaux implants afin de préserver le capital osseux. Dans tous les cas, une prothèse de hanche doit être surveillée par des radiographies régulières tout au long de la vie, car l’usure, même sévère, est souvent totalement indolore. Descellement de prothèse de hanche Le descellement d’un prothèse de hanche est l’apparition d’une mobilité entre l’implant et l’os sous jacent. Il s’agit d’un évènement qui peut être douloureux ou indolore, dont le diagnostic est radiologique. Différentes causes de descellement sont possibles usure prothétiques “normale” après ne nombreuses années ; descellement précoce par insuffisance de tenue mécanique de la prothèse initiale ; infection du site opératoire. Dans tous les cas, il convient d’agir sans tarder, car le descellement d’une prothèse de hanche conduit à une destruction progressive de l’os qui entoure l’implant devenu mobile ostéolyse. Il faut reprendre l’intervention et changer l’implant descellé contre un nouvel implant, en effectuant des prélèvements bactériologiques pour éliminer un processus infectieux. Par ailleurs, rappelons que toute prothèse doit être surveillée par des radiographies régulières tout au long de la vie, car l’usure et le descellement peuvent être indolores. Luxation de prothèse de hanche La luxation de prothèse de hanche est souvent associée à la pratique de voie postérieure lors de la pose de prothèse technique de Moore. La section des muscles rotateurs externe augmente le risque de luxation, comparée à la voie antérieure de hanche qui ne sectionne aucun muscle. La luxation, surtout lorsqu’elle est répétée, est un épisode traumatisant qui nécessite un transport d’urgence en service chirurgical pour réduction sous anesthésie. La démarche diagnostique apprécie l’état neuromusculaire et général. Il faut prendre connaissance du compte rendu opératoire voie d’abord, diamètre de la tête prothétique, références des implants. Une malposition des implants est cherchée sur les radiographies et sur un scanner. L’usure est également appréciée sur les radiographies. Le traitement repose sur la reprise chirurgicale réparation des muscles rotateurs externes, changement du positionnement des implants, pose d’un cotyle double mobilité. Le traitement préventif repose sur un programme d’éducation des chirurgiens. La voie antérieure sans section musculaire est une technique offrant un risque de luxation proche de zéro et autorisant tous les mouvements sans restriction. Infection de prothèse de hanche L’infection d’une prothèse de hanche est un événement grave, dont la fréquence est inférieure à 1% des prothèses posées. Le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments anomalie de cicatrisation, écoulement, baisse de l’état général, fièvre, douleurs de hanche nuit et jour, apparition de signes radiologiques de destruction osseuse autour de la prothèse, augmentation de marqueurs biologiques de l’inflammation leucocytes, vitesse de sédimentation, CRP. Parfois, l’infection est difficile à diagnostiquer car les signes sont modérés ou atypiques. La réalisation d’une ponction biopsie mise en culture sous radiographie est un bon moyen pour prouver l’existence d’une infection profonde de la hanche. Lorsque le diagnostic est confirmé, il faut envisager impérativement une reprise chirurgicale pour laver et généralement retirer les implants infectés. L’antibiothérapie est prolongée et doit être instituée après l’intervention chirurgicale, en s’appuyant sur l’antibiogramme du germe coupable. La prévention des infections du site opératoire après chirurgie de la hanche repose sur un ensemble d’actions information du patient et dépistage pré-opératoire des infections dentaires ou autres, antibioprophylaxie durant l’intervention, précautions d’asepsie chirurgicale, qualité des soins post-opératoires… Chirurgie de recours de la hanche La chirurgie de recours désigne une prise en charge lourde ou difficile, pour une situation extrême ou particulièrement inhabituelle. Deux situations particulières peuvent être rencontrées dans le cas de chirurgie de recours après prothèse de hanche soit un diagnostic évident nécessitant une chirurgie particulièrement complexe reconstruction osseuse étendue en cas de descellement et ostéolyse par exemple ; soit un diagnostic difficile prothèse douloureuse sans aucune explication malgré de nombreuses consultations et de nombreux examens complémentaires. Rappelons qu’une prothèse de hanche doit être stable, mobile et indolore. Si ce n’est pas le cas, il est très probable qu’un problème existe et qu’une solution peut être trouvée auprès d’une centre pratiquant la chirurgie de recours de la hanche. Offrir une solution aux situations complexes ou “désespérées” est une des priorités de notre équipe médico-chirurgicale. En savoir plus sur les autres pathologies
Laprothèse est implantée par voie antérieure mini-invasive. Cette technique ne sectionne ni tendon, ni muscle pour faciliter la récupération post-opératoire. L’intervention se déroule sous anesthésie générale ou locorégionale et dure environ 1h. Une cicatrice est réalisée à la face antérieure de la hanche, de taille adaptée
Jeudi matin Clinique Arago Lundi matin mardi après midi et Vendredi après midi Hopital privé paul D'Egine Lavoie antérieure permet de vérifier les longueurs sur table pendant l'intervention si la chirurgie n'est pas réalisée sur table orthopédique. Par voie postéro-latérale la mesure des genoux est utile mais moins performante. 8 – A distance : 8.1 - Ossification Dans certains cas la voie d'abord peut se calcifier dans les mois qui Tout le monde, ou presque, en a entendu parler dans la presse écrite, à la radio, à la télévision dans les émissions sur la santé du fameux Dr Cymes, et bien entendu sur Internet… Zoom sur la prothèse totale de hanche par voie mini-invasive. Par le Dr Serge Benoit, chirurgien orthopédiste. Tout acte chirurgical est malheureusement agressif, en particulier pour mettre en place une prothèse articulaire. Cela nécessite l’ouverture de l’articulation, la résection de l’os abîmé, fracturé ou usé et donc de passer à travers la peau, les tissus sous-jacents et d’écarter voire sectionner muscles et tendons avant de pouvoir implanter la prothèse qui remplacera l’articulation, c’est ce que l’on appelle la voie d’abord ». À la fin de l’intervention, le chirurgien s’efforcera de réparer, replacer et suturer tous ces dégâts » qui ont été nécessaires à l’abord chirurgical. Évidemment, moins il y aura de dégâts, plus les suites chirurgicales seront simples, les douleurs diminuées et la récupération fonctionnelle, plus rapide. Ainsi s’est développée la chirurgie mini-invasive » qui, au niveau de la hanche, est grandement facilitée par l’utilisation de la voie d’abord antérieure. Depuis de nombreuses années, les prothèses de hanche dans leur grande majorité étaient posées par des incisions postérieures de 15 à 20 cm de long, impliquant la section de muscles ou d’os avant de pouvoir mettre la prothèse. Ces techniques, si elles ont donné d’excellents résultats dans des centaines de milliers de cas, ne sont pas dénuées d’inconvénients risque de luxation dislocation des deux parties de la prothèse précoce, douleurs assez prolongées ou encore nécessité de se servir de cannes pendant plusieurs semaines. À l’inverse, la chirurgie par la technique antérieure mini-invasive ne coupe pas les muscles, permet une incision cutanée plus petite moins de 10 cm et est beaucoup moins douloureuse. Il y a moins de luxations, moins de pertes sanguines et des suites opératoires plus simples. Ainsi la reprise de la marche est immédiate, le soir même de l’intervention. Il y a alors moins de problèmes liés à l’immobilisation phlébites… et bien sûr une sortie de l’hôpital plus précoce. Une à deux journées d’hospitalisation sont en règle générale suffisantes. On peut même envisager cette chirurgie en ambulatoire, sur la journée. Le retour à une vie normale sera ainsi plus rapide, et l’absence complète de section musculaire ou tendineuse, le respect de la capsule articulaire permettent d’envisager la reprise du travail et des sports vers les deuxième ou troisième mois postopératoires. Cette technique qui existait depuis longtemps mais était peu utilisée a été remise au goût du jour grâce entre autres aux industriels qui ont fait de gros progrès sur le matériel chirurgical, mais surtout au développement de la réhabilitation améliorée après chirurgie RAAC qui prend une ampleur grandissante dans la conception et l’approche des soins du troisième millénaire. Larthrose de la hanche (coxarthrose) peut survenir de façon primitive (sans cause retrouvée), ou secondaire (fracture, conflit osseux, infection, ostéonécrose). La coxarthrose peut devenir invalidante à différents moments de la vie d'un patient, notamment en fonction de l'étiologie de l'arthrose et du mode de vie du patient (sportif de haut niveau par exemple). En
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Lesavantages de la prothèse totale de hanche par voie antérieure par rapport aux autres voies peuvent être résumés en : Une cicatrice de petite taille. Peu de douleurs post-opératoires. l’intérêt de la prothèse de hanche en chirurgie ambulatoire? Depuis 5 ans les autorités de santé, dans une dynamique européenne, tentent de promouvoir l’hospitalisation en ambulatoire en élargissant le champs d’application à de nombreuses interventions. Ainsi aujourd’hui la majorité des interventions légères en orthopédie relèvent de l’ambulatoire canal carpien, hallux valgus, arthroscopie du genou mais aussi, de plus en plus, des interventions réputées plus lourdes ligaments croisés du genou et arthroscopie d’épaule. Cette démarche de raccourcir la durée d’hospitalisation n’a pu se faire qu’au prix d’un progrès technique chirurgical et d’une maitrise du traitement de la douleur. L’intérêt pour le patient est évident puisqu’il bénéficie d’une qualité de soins optimisée et peut, en moins de 24 heures, faire ce qui prenait auparavant plusieurs jours et ceci sans conséquences pour la récupération. Promouvoir la récupération rapide c’est améliorer le confort du patient. Du fait de son expérience dans la chirurgie mini-invasive par voie antérieure, le Dr Fouilleron propose depuis trois ans un protocole de récupération rapide permettant aux patient de rester hospitalisé moins de 3 jours. A qui s’adresse l’ambulatoire? La pose d’une prothèse de hanche en ambulatoire nécessite pour le patient de s’y préparer et de comprendre les enjeux. Les patients accompagnés, sans facteurs de risques importants, en bonne santé peuvent tous y prétendre. En pratique Lors de la consultation C’est avec les Docteur Fouilleron et Maisongrosse qu’est prise la décision de réaliser une prothèse en ambulatoire. Cette démarche n’est jamais imposée, parfois proposée et le plus souvent souhaitée par le patient. Il est toujours possible de changer d’avis et de rester une nuit ou plus dans le service d’hospitalisation. L’ensemble des soins post-opératoires nécessaires sont prescrits au patient de manière à ce que tout soit planifié avant l’intervention et à ne pas avoir à le faire en urgence lors de la sortie. La consultation de pré-anesthésie Elle permet de vérifier que l’état de santé est compatible avec l’ambulatoire. Si aucun problème de santé ne s’y oppose, le médecin anesthésiste remet au patient l’ordonnance de traitement de sortie. Ainsi le patient dispose, à son domicile, de l’ensemble du traitement contre la douleur avant l’intervention. Le retour au domicile Après la visite du chirurgien, du médecin anesthésiste et sous contrôle du cadre infirmier, la sortie peut se faire en fin d’après-midi. La kinésithérapie est débutée dès le retour du bloc, elle débute par de la marche avec béquille, puis le travail des transferts et se termine par la pratique des escaliers. Le retour au domicile se fait en voiture. Le patient dispose d’un lien téléphonique direct pour contacter son chirurgien. Le lendemain Une prise de sang au domicile est réalisée par une infirmière de ville. L’équipe du Dr Fouilleron et du Dr Maisongrosse contacte le patient pour prendre connaissance de son état. Les jours suivants Le patient qui regagne en autonomie peut déambuler, sortir du domicile de la même manière que s’il était resté hospitalisé. Quels résultats pour une prothèse de hanche en chirurgie ambulatoire La satisfaction est aussi grande pour le patient qui repart au domicile en marchant seul que pour le chirurgien. Moins d’hospitalisation, moins de complications lorsque rien n’a été laissé au hasard. Pour autant il ne faut pas minimiser cette intervention complexe et le patient doit toujours être conscient des risques et des enjeux. L’information mise à disposition sur le site vise à soutenir et non à remplacer la relation entre un patient et son médecin.

Spécialisationen CHIRURGIE DU GENOU (arthroscopie pour problèmes de ligaments - ménisques, prothèses) et CHIRURGIE DE LA HANCHE (prothèse par voie antérieure). Exerçant à la Clinique Jouvenet (Paris 16ème) et Clinique du Val d'Or (St Cloud)

La chirurgie de la prothèse totale de Hanche par voie antérieure Publiée le mercredi 29 mai L'utilisation de le voie antérieure s'intègre parfaitement dans l'utlisation des protocoles de récupération condamner les autres voies de mise en place de la prothèse totale de hanche n'aurait aucun sens le chirurgien prend des décisions pour que vous ayez le meilleur résultat possible parmi plusieurs possibilités Docteur Gadeyne utilise les différentes voies d'abord pour la chirurgie de la voie d'abord antérieure permet d'accroître stabilité et retour rapide à l' se fait dans un espace qui réduit nettement les blessures par ce biais, qu'elle est un complèment naturel à la récupération rapide après chirurgie. C'est une technique exigeante qui nécessite de l'expérience pour la pose de la prothèse de cette technique de voie antérieure a le vent en poupe, il faut quand même noter que c'est une technique très ancienne remise au goût du jour par un matériel ancillaire adapté qui permet de la pratiquer dans des conditions de securité cicatrice dans le pli de l'aine appelée "bikini" peut être utilisée par cette voie antérieure.
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